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Voici un circuit de 5 exercices à effectuer pour développer vos abdominaux. Une erreur souvent commise est d’entraîner les abdominaux sans tenir compte de la fonction des muscles et de l’importance d’entraîner les fonctions de ceux-ci. Nous entraînons nos abdominaux en désirant atteindre une fatigue excessive avant d’être capable de les mobiliser de la bonne façon. Ce circuit, que vous pourrez pratiquer à la maison comme au gym, vous permettra d’améliorer le fonctionnement de ceux-ci. INSCRIVEZ-VOUS À MA CHAÎNE YOUTUBE!

L'entraînement cardiovasculaire a définitivement sa place dans votre semaine d'activité physique. Voici le point de vue sur celui-ci, illustré par 3 profils d'individus différents. (L'accro du cardio, le gars de gym et la fille zen) L’accro du cardio Vous les reconnaissez de loin. Ils affichent une moyenne de 73km de course hebdomadaire depuis les 7 dernières années. (Évidemment, tout est documenté dans leur application de course) Cette moyenne est suffisante pour lui donner l'impression d'avoir échoué sa semaine s'il n'a pas entamé son 28e km le mardi. Vous qui étiez fier de marcher 30 min par jour depuis 2 semaines! Ils se déguisent soit en marathoniens exprimant leur besoin de courir comme vous ressentez le besoin de prendre votre coupe de vin, ou en cyclistes qui, armés de leurs cuissards assortis aux couleurs de leur marque de vélo favori, roulent entre 30 et 40 heures par semaine. (sans compter les cours de spinning du midi). Ils se promènent en troupeau et parlent un langage peu commun pour le néophyte moyen. Selon eux, le cardio, c’est LA façon de vivre. Le gars de gym Le gars de gym s’entraîne sur une base régulière. Lorsqu’il quitte le bureau pour son entraînement du midi, il mélange une poudre qui vous semble étrangement louche dans son "shaker" . Vous le regardez en vous demandant à quoi peut bien servir cette fameuse poudre. Il quitte, sac d'entraînement en main, vers le temple de la fonte. Vous viens des images de gars suants, en camisoles, poussant des cris de morts en se tapant su'l chest. Selon lui, faire du cardio, ça fait prendre du gras et perdre de la masse musculaire. Vous doutez légèrement de ses qualités d’entraîneur, mais cela vous intrigue, car malgré tout sa silhouette vous laisse croire que ça fonctionne. Le fait que le gars de gym mange du poulet à 9:30, 11:30, 13:30 et 15:30 vous confirme que ce rythme de vie n’est peut-être pas fait pour vous. Pour lui, le cardio c’était bien dans les années ’80. Il vous confirme sans l’ombre d’un doute que ce n’est pas la meilleure façon de perdre du poids. La fille zen Trop zen pour la pile de feuilles qui traîne sur votre bureau, cette végane, qui mange sans gluten, alcalin, qui filtre son eau avec de la poussière de bambou du sud de la Birmanie et qui consomme des collations avec des ingrédients dont vous ne connaissiez même pas leurs existences, dégage une zénitude déconcertante. Pour elle, le cardio, c’est une dépense énergétique excessive qui accélère le processus de vieillissement et qui risque de déséquilibrer l'homéostasie de l’organisme. « Tu n’as qu’à respirer », affirme-t-elle. Zen et sans jugement, c’est pourtant complètement l’inverse que vous ressentez lorsque vous passez ne serait-ce que 5 minutes à discuter avec elle. Ces personnages vous rappellent-ils quelqu’un de votre entourage? #cardio #entrainement #pertedepoids

La musculation offre des avantages exceptionnels sur la perte de poids, la santé articulaire, l’équilibre du corps humain ainsi que sur le maintien d’une composition corporelle à long terme. Pour bien réussir, il faut mettre en place certains éléments dans votre planification. 1 – Faites fonctionner votre corps correctement Le corps est une structure complexe. Avant de faire un squat avec 200 livres sur le dos, il doit bien fonctionner. Votre ceinture pelvienne doit être équilibrée et doit fonctionner correctement, tout comme vos abdominaux et votre ceinture scapulaire. Vous devriez être capable, en théorie, de faire bouger chacune des parties de votre corps indépendamment, avant de les intégrer dans des mouvements plus complexes. Essayer de contracter vos fessiers, par exemple. Si vous n’êtes pas capable de faire fonctionner votre fesse alors que vous êtes assis en train de lire, comment voulez-vous qu’elle fonctionne lorsque vous faites des fentes? 2 – Prendre son temps La musculation offre plusieurs avantages. Et réussir à capitaliser sur son investissement de temps à l’entraînement, c’est long. Je crois que la plupart de gens surestime ce qui est possible de faire en 3 mois, et sous estime ce que nous pouvons accomplir en 1 an. Je vous invite donc à travailler votre patience, et prendre plaisir au processus, plutôt que de mettre uniquement l’emphase sur les résultats. 3 – Prenez le temps de sentir les bons muscles Je travaille souvent avec des gens qui ont déjà eu un entraîneur, ou qui s’entraînent depuis longtemps. Il n’est pas rare que lorsque je leur demande ce qu’ils ressentent, ils aient de la difficulté à me répondre. Pour bien réussir en musculation, vous devez être capable de sentir les bons groupes musculaires. Pensez à travailler une région musculaire plutôt que d’effectuer un mouvement. 4 – Optez pour la fréquence plutôt que la durée Vous bénéficierai beaucoup plus de faire 5 entraînements de 30 ou 40 minutes que 2 entraînements de 1h30. Essayez de voir l’entraînement musculaire comme une courte période de temps de votre horaire pour vous permettre de caler plus de séances, plutôt que voir une séance d’entraînement comme l’abolition de votre avant-midi avec le déplacement, la douche, l’échauffement, le cardio, etc. Votre entraîneur personnel et lifestyle coach, Pierre-Hugues

Coupable de trop manger, coupable de manger du sucre, coupable de ne pas être aller au gym. Pourquoi nous sentons-nous coupables, et comment faire pour diminuer ces patterns auto destructeurs? C’est correct. Vous réussirez. Vous réussirez à trouver votre façon de naviguer à travers votre personnalité, votre désir de manger du dessert, de vouloir perdre du poids, de vouloir aller courir et de vouloir rester dans votre divan à écouter des séries. Ces dualités sont présentent chez chacun d’entre nous, ou presque. Vous n’êtes donc pas seul, mais nous le vivons tous à notre façon. Ces dualités entraînent le sentiment de culpabilité, qui est extrêmement nocif pour le corps humain. Vous désirez quelque chose, mais c’est comme s’il ne faudrait pas. Comme si l’on s’interdisait certains gestes par honte d’avoir l’air de celui ou celle qui ne fait pas ça correctement. Ou, au contraire, nous devenons si maladifs avec tous ces déchets présents dans l’alimentation moderne, que nous devons tout, tout, tout calculer. Au fond, depuis que je me suis levé ce matin que je pense au dessert de ce soir, et lorsque je le mange, je me sens coupable. Pourquoi? Voici la présentation deux types de profils qui risquent de vous ressembler beaucoup, ou en partie. Profil libertin Qu’est-ce qui, au fond, est si pire que cela? J’avais envie de manger mon Jos Louis, et je l’ai fait. Était-ce nécessaire? Je m’en fou un peu, sérieusement. Je m’en fou parce que j’ai une vie à vivre. Si vous croyiez que je vais m’empêcher de manger mon dessert parce que ce n’est pas bon, parce que c’est du sucre, ou parce que je suis trop gros pour ma grandeur, vous vous mettez le doigt dans l’oeil! Ça me fait du bien, et j’en profite. Je ne me tuerai pas avant de mourir! Moi, ma bouffe, je veux que ça goûte, que ça me satisfasse, que ça me rassasie, que ça me fasse du bien. Profil restrictif Comme j’ai déjà mis 2 g de sucre environ dans mon café ce matin, pas question que je mange du dessert. Le sucre, c’est mal, et depuis le temps que je fais autant d’efforts, pas question que je scrap tout ça avec un vulgaire Jos Louis! Si vous pensez que M.Vachon va réussir à me faire perdre le contrôle de la structure que j’ai mise en place dans ma vie pour avoir une alimentation parfaite, vous vous trompez! Je me suis déjà gâté avec mon café ce matin, ça va faire les excès! Je vais même laisser un peu de nourriture dans mon assiette pour compenser cette folie. Vous vous reconnaissez peut-être dans une des 2 caricatures citées plus haut. Notre relation à l’alimentation n’est vraiment pas quelque chose à négliger. Si quelque chose est bien commun à chacun d’entre nous, c’est que nous mangerons toute notre vie. Ainsi, l’alimentation doit être quelque chose de conscient et positif, pour que vous puissiez tirer le meilleur de ce que la vie a à nous offrir: des plaisirs culinaires tout comme une composition corporelle et une énergie qui nous ressemble. Si vous vous êtes reconnu dans le profil libertin, peut-être que de mettre votre attention sur autre chose que ce que l’alimentation apporte dans votre vie vous permettra de mieux manger, sans penser à changer quoi que ce soit. Ressortez vos passions, votre vieille guitare, votre toile de peinture, vos livres, votre équipement de randonnée, et pensez à ajouter quelque chose de plaisant dans votre vie, plutôt que d’essayer d’éliminer ce qui pourrait être considéré comme mauvais à manger. Intégrer la méditation et la pleine conscience dans votre vie vous permettra possiblement d’améliorer votre contact à vous-même, c’est-à-dire améliorer la façon dont vous ressentez vos émotions et comment vous réagissez à celles-ci. Si vous vous êtes reconnu dans le profil restrictif, et que vous avouez vous être reconnu, c’est déjà une bonne première étape. La pression inconsciente associée au contrôle est plus néfaste que l’on pense pour l’organisme, qui se sentira constamment menacé par toutes ces contraintes imposées. Apprendre à se laisser aller est santé pour l’organisme, tant que cela vous convient. Vos proches ressentiront aussi peut-être des bienfaits à un certain lâcher-prise sur votre manie consciente ou inconsciente de vouloir tout contrôler. Allez-y une étape à la fois, et laissez-vous la chance de tester ce qui pourrait vous permettre de mieux vivre, et d’être plus heureux. L’alimentation, c’est complexe, très complexe. Le trop-plein d’information qui circule sur les réseaux sociaux risque de vous rendre malade plus qu’en santé. Gardez en tête que vous êtes la personne la mieux placée pour savoir ce qui est bon pour vous. Écoutez votre faim, écoutez votre système digestif, et soyez conscient de votre discours interne. Améliorer sa capacité à écouter notre corps est un outil formidable, peu contraignant et flexible. Amusez-vous bien!

Depuis les dernières années, j’ai eu la chance et le privilège de développer des relations uniques et profondes avec plusieurs de mes clients. Le fait d’avoir fait ma formation en PNL alors que je n’avais que 22 ans m’a permis d’approfondir ma connaissance de la vie à travers les êtres humains que j’ai côtoyés. Les liens que j’ai tissés m’ont parfois amené dans des discussions plus qu’intéressantes sur la vie et notre façon de la vivre. Au fil du temps, je me suis rendu compte que nous nous définissons souvent par nos expériences du passé, et nous nous sentons parfois prisonniers de comportements et de croyances qui ne sont pas aidantes à notre bonheur. Je vous pose alors la question: « Laissez-vous votre passé vous définir? » Même si cette question semble vague, j’espère que cet article vous aidera. Qu’il vous aidera à avoir un certain éveil, ou prise de conscience, sur les multiples opportunités que la vie vous offre d’être cette partie de vous que vous n’osez pas voir, ou croire, car vous vivez en fonction de ce que vous croyez devoir être ou faire, par rapport à vos expériences passées. [Permettez-vous de relire cette phrase 2 ou 3 fois s’il le faut ? ] C’est sans morale ni jugement que je vous dis cela, mais plutôt dans un amour pour la vie — un amour qui me pousse à sensibiliser les gens sur le plein potentiel qui sommeille en eux. Je vous le répète, vous n’êtes pas votre passé, même si votre passé fait partie de vous. Être son passé signifie exprimer la vie à l’intérieur d’une boîte qui a été découpée dans vos expériences antérieures; parfois bonnes et aidantes, et parfois mauvais et nuisibles. Être son passé, c’est s’empêcher d’exprimer la partie profonde de vous qui aurait parfois envie de sortir de ce cadre agissant comme un paradigme sur vos croyances et vos comportements. Votre passé fait parti de vous. Il est une partie de vous qui a vécu, mais n’a pas défini le cadre: il a plutôt servi à savoir comment allait évoluer le cadre. C’est une partie de vous qui vous a permis d’obtenir de l’information sur la vie, et sur l’expérience humaine que vous désirez en retirer. Je vous le confirme, vous êtes libres. Libre de manifester cette voix intérieure que l’on laisse parfois s’éteindre par la pression du cadre de votre passé. Vous êtes libre de rêver, d’essayer, et de vous tromper. Libre d’expérimenter, de ressentir et d’être vulnérable. Libre de prendre la place qui vous revient. Car tous ces éléments ne vous définiront pas, mais vous permettront de grandir et de faire évoluer un cadre qui servira à votre épanouissement.

Les abdominaux sont sans aucun doute une région du corps humain extrêmement convoité par la plupart des gens actifs. Si l’apparence du fameux 6 packs prendra forme lorsque votre alimentation sera parfaite et que la plupart des entraînements ciblés sur les abdominaux sont excessifs et mal conçus, n’en demeure pas moins que des abdominaux qui fonctionnent bien sont indispensables au bon fonctionnement du corps humain. Voici comment vous pouvez évaluer vous-même si ceux-ci fonctionnent bien. Test 1: Évaluation du bas Si plusieurs croient que le grand droit de l’abdomen fonctionne comme une seule unité, ce test vous permettra de comprendre pourquoi il est important de sectionner le haut et le bas des abdominaux. Placez vos mains en dessous de votre dos, appuyez votre région lombaire contre votre main, de façon à couvrir l’espace entre vos vertèbres lombaires et le sol. Placez ensuite vos genoux à 90º, et levez de haut en bas vos jambes en vous assurant de garder le bas de votre dos collé à vos mains. Si vous sentez des écarts de pression pendant le mouvement, c’est un signe que vous devez entraîner le bas de vos abdominaux à stabiliser votre basin lorsque vos jambes sont en mouvement. Test 2: Diaphragme Une autre partie essentielle de la sangle abdominale est le fonctionnement adéquat du diaphragme. En fait, le diaphragme, comme le transverse de l’abdomen, le plancher pelvien, les obliques internes et les multitudes, font partie de ce que nous appelons l’unité interne. Prenez une grande respiration. – – – . Si vous respirez par la cage thoracique de façon naturelle, il se peut fort bien que votre diaphragme soit tendu. Pour assurer un bon fonctionnement du diaphragme, entraîner-vous è respirer les 2 premiers tiers de votre inspiration par le ventre, et le dernier tiers par la cage thoracique. Pour vous aider, vous pouvez vous placer sur le dos et mettre un poids sur votre ventre de façon à créer une surcharge pour le diaphragme. Test 3: Transverse de l’abdomen Couchez-vous sur le ventre, et positionnez une petite serviette légèrement roulée entre votre nombril et votre région pubienne. Inspirez et expirez. Lorsque vous avez terminé votre inspiration, et que vos poumons sont vides, tentez de dégager l’espace occupé par la serviette en tirant légèrement votre nombril vers l’intérieur, vers vos vertèbres. Vous devriez être en mesure, sans compenser par l’utilisation d’autres régions de votre corps, de libérer cette espace. Voilà! Si vous avez de la difficulté à effectuer ces tests, c’est un signe que votre sangle abdominale ne fonctionne probablement pas très bien. Pas de panique, simplement en les pratiquant, vous deviendrez meilleurs et plus fonctionnels!